L’ANTRE, 2019

Étudiante à l’École Nationale Supérieure d’Art de Bourges, Romane s’est tournée vers la peinture pendant longtemps, puis peu à peu, sa pratique s’est diversifiée en incluant l’installation et le photomontage. Le travail de l’image par la peinture correspond plus à une étape de recherche du processus. On peut définir son travail comme une frontière entre l’organique et l’onirisme. Attachée à la pensée surréaliste, son travail est protéiforme et suggère toujours au spectateur des univers et des récits pluriels. Sa pratique plus personnelle est orientée vers les questions du corps, mais plus précisément de la peau et de l’enveloppe comme constitution primaire de soi. Encore jeune et étudiante, ses créations sont en mutations constantes vers une recherche formelle encore plus proche de ses idées